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Faits Divers

Treichville/ Drame à l'hôtel: Un homme tué d'une crise d'Avc en pleins ébats sexuels

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Il est vraiment terrible ce mal qu'est l'Accident vasculaire cérébral plus connu sous son effrayant sigle d'Avc. Ce redoutable mal a pour la énième fois, « volé » une vie humaine. Cela dans un hôtel situé non loin du terminus des bus de la ligne 22, au quartier « Entente », à Treichville.

Nous sommes le mercredi 20 mars 2019. Et ce jour-là, informent nos sources, il est environ 22h, lorsqu'un homme qui répondra peu après au nom de A. Abdou, pointe à la réception de l'hôtel.Il n’est pas seul. Il est en compagnie d'une belle jeune dame qu'il tient du reste à la taille. Histoire de marquer son territoire. Et que ce territoire lui appartient. C'est ce que chacun doit savoir, semble-t-il faire comprendre. La gonzesse, elle, acquiesce par de petits bisous qu'elle place de temps en temps, sur la joue de son mec. Un mec qui lui, en profite pour lui malaxer les fesses à pleines mains. Un peu comme on le fait avec du garba qu'on mélange à tous les ingrédients qui accompagnent.

La jeune dame apprécie, lâche des sourires qui, à y voir de près, sont loin d'être sincères. L'expression de son visage qui échappe vraiment à son compagnon, le prouve. Apparemment, c'est le pognon d'Abdou qui l’intéresse. Pas plus. Et d'ailleurs, pour s'assurer que ce dernier a du fric, elle passe discrètement sa main sur le postérieur du gars. Là où se trouve calé le « bédou ».Abdou est trop amoureux pour détecter le faux en la fille. Mais ne dit-on pas que l'amour rend aveugle ? C'est « ce qui est là là », pour emprunter son expression au langage populaire. Lui en tout cas, s'en fiche. Ce qui l’intéresse, c'est le film interdit au moins de 32 ans, qu'il va à l’instant tourner dans la pièce.En attendant, vicieux qu'il est, il use de son index associé à son pouce, pour tirer à travers la jupe, un pan du slip de sa dulcinée, avant de le relâcher aussitôt. Laissant entendre un bruit sec dans le genre : « kpaaaa ! ». Le bruit du slip qui vient frapper la fesse. Cette « musiquette » a tout l'air d'exciter notre homme qui reprend le même geste.

En définitive, il demande au réceptionniste de lui octroyer une chambre, pour une passe d'une heure. Ce temps est largement suffisant pour lui permettre de vider sa « pompe à injection ».Et rapidement, le couple part s'enfermer dans la pièce. Et on y va pour le coït dans lequel, les préliminaires ne sont pas invités. Place donc directement à la « position du missionnaire » communément appelée « tue-moi ». On imagine l'homme empoigner son « arme » à laquelle il impose une orientation verticale, pour une brève « mission de reconnaissance du territoire ennemi », comme le ferait un missile à tête chercheuse. Et c'est parti pour des « tirs par rafale », provoquant des onomatopées connues de tous ceux qui se sont déjà nourris à la soupe piquante du plaisir charnel.

Hélas, cet « assaut sexuel », pourtant parti pour bien se terminer, va plutôt déboucher sur le péril du pauvre « combattant ». Les moments suivants nous le diront en tout cas.De fait, le temps de la passe estimé à une heure est largement dépassé. Alors, comme cela se voit dans les petits hôtels, le gérant fonce à la chambre du couple , pour lui demander de libérer la pièce. A moins qu'il ne veuille une prolongation dans ce « match de coups de reins ».

Mais l'homme se rend compte, que la porte est entrouverte. Alors pour lui, le couple est parti. Il accède ainsi à la chambre, dans le but de récupérer les draps pour les changer. Et apprêter de nouveau la pièce, pour d’éventuels clients.Mais là, le gérant répondant aux initiales de G.D, s'éjecte subitement de la chambre. Il alerte d'autres employés de l'hôtel, et ensemble, ils viennent voir ce que lui, vient de découvrir. Le corps sans vie et tout nu d'Abou étendu sur le lit. La compagne du défunt, elle, s'est depuis longtemps barrée. Il n'était sans doute pas question pour elle, d'assurer le « service après vente ».

Alertés du drame, des agents de la police arrivent sur les lieux, en compagnie d'un médecin, pour le constat d'usage. Et c'est ce dernier qui, à l'examen externe de la dépouille présentant du sang dans les narines, conclut à une mort survenue à la suite d'un Avc.Peu de temps après, les services des pompes funèbres requis, enlèvent le cadavre et vont le déposer à la morgue du Chu de Treichville. Par ailleurs, une enquête devrait être ouverte, pour retrouver la jeune dame en fuite.

 

 
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